DEMOCRATIE

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samedi 30 août 2008

CHARENTE MARITIME L'UMP TROP DE CANDIDATS !


À l'UMP, ça flingue à tout va .......... Ensemble tout n'est plus possible !

Les trois sièges sénatoriales renouvelables le 21 septembre prochain aurait du voir apparaître trois candidats se réclamant du parti majoritaire et qui gouverne ce pays: l'U.M.P.

A l'heure de la rédaction de ces lignes ils sont cinq candidats membres de L'UMP à se présenter aux suffrages des grands électeurs .

Y aurait il un avis de tempête sur la Charente Maritime ?

La belle unité d'il y a quelques mois serait elle rompu ou bien la place de sénateur serait elle aussi bonne à prendre .

Examinons les candidatures :

Claude BELOT sénateur sortant élu le 24/09/1989 soit depuis 19 ans et qui se représente pour un nouveau mandat de 6 ans ! il a 72 ans depuis le 11 juillet et aurait s'il été élu 78 ans a la fin de son mandat au Sénat. il aime cumuler les mandats puisqu'il est Maire de Jonzac et Conseiller Général du Canton de Jonzac et vice président du Conseil Général.Au sénat monsieur Belot est un homme qui n'encombre pas l'hémicycle puisque sur la session 2007/2008 il intervenu seulement deux fois ...........en 2006/2007 il est intervenu 4 fois ........
vous pouvez trouver tous les éléments sur Internet dont voici le lien:http://www.senat.fr/senfic/belot_claude89013m.html

Michel DOUBLET sénateur sortant élu lui aussi le 24/09/1989 soit depuis 19 ans et qui se représente pour un nouveau mandat de 6 ans ! il aura 69 ans le 27 septembre prochain et aurait s'il était élu 75 ans pour la fin de son mandat au Sénat. Il est un véritable cumulard puisqu'il est Maire de Trizay , Conseiller Général du canton de St Porchaire vice président du Conseil Général et qu'il occupe depuis quelques mois la présidence des Maires du département.Il n'encombre pas lui non plus les séances publique du Sénat 2007/2008 3 interventions , 2006/2007 4
interventions .vous pouvez trouver tous les éléments sur Internet dont voici le lien:http://www.senat.fr/senfic/doublet_michel89014n.html

Daniel Laurent maire et Conseiller Général de PONS et vice président du Conseil Général serait le troisième larron soit disant officiel mais non désigné officiellement par l'UMP mais par un comité PAPAL du Conseil Général.
Xavier de ROUX lui est un ancien député UMP battu aux dernières législatives de 2007 il avait été élu en 2002 . Monsieur DE ROUX avait également fait un mandat de député de 1993 à 1997 battu lors de la brillante dissolution de l'assemblée nationale par Jacques Chirac. Il aime lui aussi les cumuls puisqu'il est Maire de Chaniers depuis 1983 et il a été de nombreuses années Vice Président du Conseil Général . une anecdote dans ses racines familiales Il est le frère de l'écrivain Dominique de Roux (1935-1977), et le petit-fils de Marie de Roux, qui fut l'avocat de Charles Maurras et de l'Action française.Par contre son suppléant est un conseiller UMP de ROYAN de l'equipe de DIDIER QUENTIN.

Philippe MOST fait son grand retour dans le paysage politique Charentais ! pourtant depuis quelques jours pourtant il se donne du mal pour se refaire entendre et fait chauffer son blog tous les jours "il a déjà rédigé 3 articles"en une semaine plus qu’en deux ans !Mais où était il passé le Maire démissionnaire de ROYAN et aussi Conseiller Régional U.M.P. de Poitou Charente . Les mauvaises langues le disaient perdu pour la politique ! Tel le phénix il renaît de ses cendres pour essayer si les électeurs le souhaitent de trouver une nouvelle bonne place.Ses ennuis de santé , son âge avancé , son absence, en font il le candidat idéal ?

EN GUISE DE CONCLUSION :
Dans ce cas de figure l'UMP a l'image de son président Nicolas Sarkozy touche le fond, quand elle aura touché le fond, elle finira bien par remonter. A condition qu'il y ait un fond comme disent les humoristes. La droite de Charente Maritime par ses choix débute sa descente aux enfers. Par quel chemin cette droite dominatrice il n'y a pas bien longtemps se perd elle dans ses divisions? la droite locale s'est elle étiolée? Affaire d'hommes et de méthodes.
Plus de patron, pas assez de travail militant et collectif.
Les petits arrangements entres amis avant l'intérêt général. Des exemples? A la tonne.
«Un renouvellement de génération», concède certain militants dépité par «une droite qui se trouve toujours de bonnes raisons pour avancer voilée, qui a honte de ses engagements».

LA PREUVE :Claude BELOT, Michel DOUBLET et Daniel LAURENT ont fait des pieds et des mains et même souvent plus pour obtenir l'investiture de l'UMP. Pourquoi faire?Ils se présenteraient caché sou la bannière Union Pour la Réussite de la Charente-Maritime, ce qui donne UPRCM, mais certainement pas UMP qui est mentionné nulle part.

Pourquoi une telle HONTE DE PORTER LE SLOGAN U.M.P. !

"Pour être élus vivons caché" nouveau dilemme des candidats U.M.P.

le dimanche 21 septembre seront ils sanctionné ?

lundi 25 août 2008

SENAT : Les hommes politiques ! sont ils trop vieux ? sont ils trop absents ?


Pour s'en donner une idée il suffit d'observer certains débats du jeudi au SÉNAT où il y a un absentéisme catastrophique de même que dans les débats importants.

L'âge du capitaine est elle équivalente a la sagesse de ces décisions ou est elle une des raisons pour laquelle les changements se font avec tant de mal ?

L’absentéisme de l’Assemblée Nationale par exemple est une anecdotique péripétie comparée à celle du Senat, où il est vite fait de compter les présents… Si les Sénateurs étaient payes à la présence, les RMistes seraient nombreux….

Le Senat a toujours eu une image d’archaïsme.

Il faut dire qu’il fut un temps ou l’âge moyen des Sénateurs n’y était pour rien.
Jusqu'à la fin des années 90, le Senat était, c’est vrai une véritable maison de retraite où les octogénaires étaient légion.
Ils s’appelaient eux mêmes les « sages » mais la quasi totalité des observateurs étaient infiniment moins complaisants…..
Les séances de l’après midi étaient connues pour être formidablement silencieuses ….du fait des siestes prolongées de nos chers vieillards.
Depuis ces dernières années les choses se sont un peu arrangées, enfin quant à l’âge moyen de cette illustre assemblée.
En effet out le monde sait que les Sénateurs préfèrent rester dans leur circonscription où ils s’occupent de leur image et de leur réélection, plutôt que de participer aux travaux pour lesquels ils sont payes.
Il vaut donc mieux passer son temps dans les inaugurations et les remises de médailles diverses et variées, rencontrer les notables du coin plutôt que bosser a Paris ce qui ne rapporte pas une voix…
Paris pour tout ce beau monde n’étant qu’un sympathique pied a terre, ou la flopée d’assistants parlementaires mis a leur disposition , leur super bureau, et le cadre magnifique du Palais du Luxembourg est bien agréable pour « gérer ses petites affaires ».
Malgré donc un certain rajeunissement, le Senat reste aujourd’hui une assemblée de politiciens qui a défaut d’être en retraite complète, sont des gens qui on quelque peu renonce a toute ambition nationale.
Des politiciens qui en quelque sorte recherchent une carrière tranquille, plutôt qu’une exposition médiatique avec les risques qu’elle comporte.
La preuve en est que vous aurez sans doute du mal à citer un seul leader politique important qui soit sénateur.
Le mode d’élection des sénateurs et cette recherche de notabilité, plus que d’exposition médiatique conduit traditionnellement le Sénat a une certaine modération.
Les extrémistes à gauche comme à droite sont rares, et les propos radicaux et excessifs ne sont guère de mise.
Les débats sont feutrés, cordiaux et infiniment plus consensuels qu’a l’Assemblée.
Disons que la discrétion est de bon ton et que le « vivons cache, vivons heureux » serait plutôt l’adage de la maison.
Sarkozy et Fillon le savent et le denoncent hors des cameras.

Voilà une raison supplémentaire d'interdire le cumul des mandats.

samedi 23 août 2008

NON AU CUMUL DES MANDATS ! ! ! !


L'absentéisme parlementaire choque les Français et le cumul actuel des mandats le favorise.

Il y a aussi et surtout une question de principe : ce cumul peut entraîner une confusion d'intérêt.

L’élu n’est pas un employé et son mandat n’est pas un job !

Les français sont aujourd’hui une très large majorité à déconsidérer l’homme politique, estimant que ses multiples candidatures n’ont plus rien à voir avec un engagement profond et sincère.

De même, il n'est pas sain pour la vie démocratique qu'une même personne puisse rester à la tête d'une collectivité en cumulant plusieurs mandats pendant 20 ou 30 ans, la Charente Maritime en est un pur exemple. ( mais jusqu'où iront ils )?

Il faut au contraire permettre à des femmes et à des hommes nouveaux de partager les responsabilités locales et nationales.

Nos institutions doivent être profondément modernisées pour permettre un renouvellement régulier de la classe politique.

Comment mettre un terme à cette situation ?

Seule une réforme imposant le mandat unique, permettra de conjuguer la régénération de la classe politique et l'obligation pour l'élu de se consacrer entièrement à l'exercice du mandat qui lui a été confié.

Le non cumul des mandats pourrait permettre à plus de politiques débutants, issus de la société civile, de concrétiser leur engagement à des postes décisionnels.

Il donnerait l’opportunité à de nouveaux visages de se faire connaître, d’acquérir de l’expérience et de faire leurs preuves auprès de leurs électeurs.

C’est pourquoi une telle règle développerait la diversité du paysage politique et donc la démocratie.
Mais, le non cumul, représente aussi bien plus : dans ma vision de la démocratie, cela indique une volonté de « déprofessionnalisation » des mandats électifs, lorsque le mandat le permet.

Ce qui ne veut pas forcément dire avoir des élus moins compétents, mais des élus moins dépendants de leurs carrières politiques (et des indemnités associées), des élus qui pourront ainsi plus librement appliquer leurs convictions et leur valeurs pendant toute la durée de leur mandat sans craindre un mauvais impact sur une future élection.

Enfin, défendre le non cumul de mandat signifie aussi pour moi, permettre plus de transparence dans notre système démocratique.
Nous élisons ainsi des candidats pour une fonction claire et précise sans chercher à savoir quel mandat sera privilégié dans son action par des élus cumulards.

Alors, pour plus de démocratie, non au cumul des mandats !

Richard Canac.

Richard quelles sont vos convictions politiques ?


Convictions !

La démocratie représente ce que nos sociétés ont trouvé de plus élaboré pour l’épanouissement des personnes.
C’est un héritage qui se mérite et une extraordinaire chance pour la France.

J’ai ardemment, au sein des diverses instances auxquelles pendant plus de 15 ans j’ai été un élu local , défendu les valeurs de la démocratie , de la justice sociale mais aussi de l'environnement.

La démocratie a ses exigences. Elles reposent sur des valeurs qui sont pour moi les fondements de mes engagements. La
démocratie doit être au cœur de nos débats politiques.
Je crois en la liberté individuelle. Je crois en la prise de responsabilité.
Je crois en la justice et en la solidarité. Ce sont mes convictions.
Elles sont claires, soumises naturellement au débat par respect des autres mais certainement pas à la tiédeur des compromis.
Elles sont solides car enrichies par l’expérience du terrain.

Je suis aussi Européen par passion. Je soutien depuis toujours à la construction de cet édifice de paix et de prospérité car je crois en un
grand dessein pour l’Europe.

J’aime imaginer la France dans laquelle je vis plus équilibrée. C’est la raison pour laquelle l’aménagement du territoire a toujours été et reste un de mes souhaits prioritaires.

C’est parmi les forces vives du département (et en premier lieu les élus locaux ) que mon engagement se structura car je fais confiance aux élus et à la
décentralisation et j’ai tenu à le porter partout où se gagne le droit à la différence pour nos territoires.

Avant tout, j’étais Tarnais et Albigeois comme l’était EMILE COMBES lui aussi venu du Tarn , ancien maire de PONS , Président du Conseil et grand homme politique Charentais je souhaite m'inspirer de son exemple.

Cet ancrage, cette culture des solidarités et de l’audace sont les points d’appui sur lequel je sais pouvoir toujours compter pour me rappeler à l’essentiel :

C’est l’homme qui doit rester au cœur de l’action politique.